COMPTE RENDU DE LA REUNION de RENTREE A L'INSPECTION ACADÉMIQUE le 4 SEPTEMBRE 2009.
Présents
Les présentations ne sont toujours pas faites.
- C'est M. S..... secrétaire général, qui nous reçoit, seul dans un premier temps. M. MERLIN, inspecteur d'académie et Mme DUGUET : adjointe de l'inspecteur nous rejoignent par la suite.
- Un parent, représentant de la F.C.P.E.
- F. Agbadou, représentante A.P.I.C. Affiliée à L'UNAAPE.
- Aucun représentant de la P.E.E.P.
La réunion a duré une heure environ. Quelques minutes avant la réunion, nous recevions par courriel une copie du dossier de presse. Ce dossier devait être complété ; mais aucun autre document ne nous est parvenu malgré nos relances.
Ordre du jour (non présenté, construit pour ce C.R.) :
- Rappel des informations relatives à la grippe H1N1, diffusées dans les écoles.
- Informations relatives aux ajustements des cartes scolaires et diverses informations en découlant.
- Point sur les aides personnalisées
- Points divers
1 Informations relatives à la grippe H1N1 [ retour au début ]
Pour la grippe, 4 documents sont arrivés via le rectorat pour le secondaire et via l'IA pour le primaire. Ils ont été rapidement distribués dans les écoles
- un fascicule donné aux élèves
- une lettre concernant les gestes « barrière » pour les encadrants
- la circulaire du 25/08 concernant les mesures à prendre dans les écoles. L'IA est informé quand trois cas sont repérés dans un même groupe. C'est le préfet qui décide ou non de la fermeture.
- la circulaire du 1er septembre, relative à la continuité pédagogique en cas de problème de scolarisation.
Nous aurons même droit aux lavages de mains mimées...
Concernant la carte scolaire, M. Merlin nous renvoie au dossier de presse communiqué par e-mail, il y a quelques minutes. Nous ne pouvons pas vraiment nous repérer en si peu de temps. Ce document est celui paru dans la presse donc. Il mentionne que sur le département au cours des vacances, les situations « limites » ont été étudiées et que, au vu des effectifs réels à la rentrée, 25,5 postes sont rétablis et 7 sont annulés (solde de 18,5). Les problèmes d'ouverture et fermeture sont considérés, je le rappelle, essentiellement en mars avril lorsque l'inspection académique demande une évaluation des effectifs pour la rentrée suivante.
Il précise qu'un poste spécifique « mission maternelle » auprès de l'inspecteur de l'éducation nationale a été créé.... mais il nous n'en parlera pas davantage.
Je me permets d'évoquer la situation de l'école maternelle, Jean De La Fontaine, avec des effectifs de plus de 30 élèves de moyenne avec des classes en double niveau et une enfant présentant des troubles, sans AVS nommée à la rentrée. La discussion qui s'en suit met en évidence des divergences concernant la mission de l'école maternelle. Mais au final, M.Merlin convient que de tels effectifs ne sont pas adaptés. Mais les limites budgétaires l'amènebt d'abord à répondre aux obligations légales (ouverture de maternelle pour les enfants dès deux ans et demi en ZEP). Les moyens mis en oeuvre par les collectivités territoriales sont aussi mis en avant ; l'inspecteur explique les disparités selon les communes et en profite pour souligner ce qu'il considère être les efforts faits par la municipalité de Chambray. Il « nous » renvoie au problème d'arithmétique : plus de 30 élèves par classe en maternelle sur l'ensemble de la commune c'est la condition pour que soit envisagée une éventuelle ouverture de classe...
S'agissant de la personne en sur le contrat Assistante Vie Scolaire., le secrétaire semble assez agacé par la question renvoyant à des responsabilités partagées avec le conseil général et à ma méconnaissance du dossier. Il dit toutefois qu'un poste décidé par la commission de la MDPH reste exceptionnellement non pourvu. Ce n'est qu'une question de semaine. (NB : au 1er octobre en effet, la personne en AVS sera en place à J. De La Fontaine).
Les aides personnalisées auraient concerné 30% des élèves sur le cycle 2 selon une enquête effectuée sur le département. La majorité des temps d'aide ont lieu sur le temps de la pause méridienne. Cela s'explique surtout par le fait que la moitié des écoles du département sont sur Tours et que la pause méridienne est de deux heures sur Tours.
Les séquences se font en trois fois 40 minutes par semaine ou Deux fois en une heure.
Le problème majeur de ce système concerne l'allongement de la journée. En septembre, cela s'est mis en place « au pas de charge » reconnaît l'inspecteur... une discussion s'engage sur l'intérêt de la semaine de 4 jours et demi....
- La collègue de la FCPE demande à avoir un tableau de la réalité des effectifs des lycées ; en faisant référence à une réunion ... réunion à laquelle nous ne sommes pas conviées puisque pas encore clairement désignées par l'UNAAPE. Elle dit que d'année en année le chiffre des élèves sans solution d'orientation à partir de la troisième et de la seconde augmente. M. Merlin dément cela. Il souligne que les systèmes (« assures ta rentrée » ou la mission locale...) fonctionnent plutôt bien. Ceci dit il reconnaît que certains secteurs sont insuffisamment alimentés (secteur industriel par exemple) alors que d'autres sont saturés comme le tertiaire). Il indique que M. Herzeig (orthographe non validée) connaît bien ce dossier.
- Autre sujet amené par la FCPE : pourquoi les effectifs des Unités Pédagogiques Intégrées ont augmenté. L'inspecteur explique qu'ils en ouvrent de plus en plus (trois cette année). Alors les effectifs un peu plus élevés tiennent au fait que 19 enfants « collégiens des 4 coins du département » relavant dune scolarité en UPI ont été scolarisés sur l' UPI la plus proche de chez eux...D'autres sont en SEGPA.
- Dernier point abordé : le chaos concernant l'organisation tardive du pont de l'ascension ! M. l'inspecteur sourit et précise qu'il a été la cible de multiples critiques à ce propos. Il en profite donc pour dire : CETTE ORGANISATION NE RELÈVE PAS DE SA DÉCISION ( c'est à dire pas au niveau académique) MAIS D'UNE DÉCISION DU MINISTÈRE QUI EFFECTIVEMENT S'EST TARDIVEMENT POSITIONNE L'AN PASSE ! Il nous invite à faire « remonter nos doléances » par nos unions et fédérations nationales, pour que le ministère se positionne avant Noël à propos de ce pont du jeudi de l'ascension... M. Merlin nous dit que lui n'est pas favorable à des décisions par « école ». Il souhaite en ce sens une décision plus centralisée... Mais il explique qu'il n'aura plus à faire face à cela puisqu'il part en retraite.
Le 11 octobre 2009.
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